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Et puis nous apprenions quasi-simultanément dans le Sunday Times, relayé par Le Figaro, que des scientifiques auraient réussi à faire pleuvoir dans le désert, autrement qu’en balançant du chlorure d’argent dans les nuages, comme cela se fait parfois aujourd’hui. Et là, ça devient intéressant. Citons carrément Tristan Vey, du journal dirigé par Etienne Mougeotte : "les chercheurs ont mis en place dans le désert des parasols métalliques d’une dizaine de mètres de haut capables de charger l’air électriquement. Ces derniers produisent des ions négatifs qui sont envoyés dans l’air. Ces particules ont la propriété d’agréger les poussières qui forment alors un support idéal à la condensation de l’eau naturellement contenue dans l’air. La formation de plusieurs milliards de ces minuscules gouttes pourrait alors donner un nuage, lui-même source de pluie."

A l’origine, un financement (probablement conséquent) du président des Emirats Arabes Unis. Dans cette région désertique pourtant située en bordure du Golfe Persique et du Golfe d’Oman, les scientifiques présents auraient réussi a faire tomber la pluie avec un taux de réussite de 70%. Le véritable progrès réside dans le fait que cette technologie permettrait d’obtenir de l’eau potable pour un coût largement inférieur au dessalement de l’eau de mer utilisé actuellement.

Le problème, c’est qu’en plus de n’être pas fiable à 100%, l’air ambiant doit contenir plus de 30% d’humidité pour que la pluie ait une chance de tomber. Faire tomber la pluie au Tchad par exemple, en plein Sahara, et à des milliers de kilomètres de toute mer serait donc impossible. Il reste encore la danse de la pluie des Indiens d’Amérique…

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